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mercredi 29 octobre 2014

IBM: Paris ouvre son premier datacenter avec l'offre cloud Softlayer


Le nouveau site, bâti par IBM en Ile-de-France, héberge déjà 1400 serveurs et la technologie cloud de Softlayer, acquise en 2013. Il sera opérationnel fin 2014.


IBM France s'apprête à ouvrir, comme prévu, un datacenter dédié à l'offre technique et commerciale de Softlayer, société américaine acquise en 2013.
 
« Notre nouveau site héberge déjà 1400 serveurs virtualisés dans les environs de Paris. Il sera opérationnel avant la fin de l'année » explique Alain Bénichou, président de la filiale française. La banque en ligne Boursorama fait partie des premiers clients de ce site et des offres cloud d'IBM/Softlayer.
 
Cet investissement s'inscrit dans le cadre du plan, dévoilé début 2014, prévoyant la création de 15 nouveaux sites d'hébergement informatique dans le monde. En Europe, Londres et Amsterdam accueillent elles aussi un datacenter dédié à l'offre de Softlayer. Ce sera bientôt le cas de Francfort en Allemagne.
 
Forte de son parc existant de 13 datacenters (Etats-Unis, Europe et Asie) et de sa propre technologie, cette société fournit les fondations de l'infrastructure cloud "agile" qui faisait défaut à IBM.
 
L'offre Softlayer consiste en la fourniture, soit de serveurs "physiques" dédiés, soit de machines virtuelles gérées par un hyperviseur logiciel, soit de cloud privé caractérisé par des serveurs dédiés, l'entreprise cliente choississant sa couche logicielle de virtualisation. L'ensemble est géré par un système d'administration et de supervision propre à la société.

Sur la base de cette infrastructure, IBM a l'ambition de développer non seulement des services cloud de type infrastructure as a service (Iaas, serveurs dédiés ou mutualisés) mais aussi des offres platform as a service (Paas). La firme propose sa plate-forme logicielle Bluemix, mise à disposition des développeurs ou éditeurs de logiciels.
 
Actuellement, la filiale française utilise son datacenter existant, situé sur son site historique de Montpellier, pour héberger des logiciels comme SAP ou Oracle. Ceux-ci sont commercialisés et fournis à la demande aux entreprises par le biais d'offres de type software as a service (Saas).
 
A court terme, l'infrastructure et les datacenters de Softlayer ont aussi vocation à héberger ces logiciels et applicatifs. « IBM est en train de porter 110 logiciels d'entreprise en mode SaaS. Les datacenters d'IBM et de ceux de Softlayer seront intégrés par logiciel pour permettre des basculements de traitements d'un site vers l'autre » explique Juliette Macret, directrice de l'activité Cloud de la filiale française.
 
A lire sur : http://pro.01net.com/editorial/629216/ibm-paris-ouvre-son-premier-datacenter-avec-loffre-cloud-softlayer

 

jeudi 23 octobre 2014

Elections professionnelles 2015 - 2017


IBM : la transformation ne paye pas au 2e trimestre

Big Blue a vu ses bénéfices fondre de 18% sur un an, tandis que ses revenus se sont repliées de 4% à plus de 22 milliards de dollars.

IBM ne semble pas encore récolter les fruits de sa profonde transformation en entreprise de services. Rappelons que le géant américain poursuit son désengagement du hardware avec comme dernier épisode en date, la vente de son activité puces à GlobalFondries qui se fait à perte.
Mais avec d'un côté une stratégie qui n'est pas totalement mise en place, des accords encore frais (notamment avec Apple autour de l'iPad) et de l'autre, une concurrence forte dans le cloud et un environnement mondial maussade, les résultats d'IBM marquent le pas.

Bond des revenus issus du mobile

En raison notamment d'un "ralentissement marqué en septembre des achats des clients", le chiffre d'affaires se replie de 4% sur un an à 22,4 milliards de dollars tandis que les bénéfices fondent de 18%, à 3,46 milliards de dollars contre 4,14 une année plus tôt. L'entreprise a annulé son objectif d'un bénéfice par action d'au moins 20 dollars en 2015.

Pour autant, les secteurs où Big Blue a décidé de mettre le paquet sont sources de satisfaction. Les activités liées au cloud ont ainsi progressé de 50% tandis que les revenus issus de la mobilité (MDM notamment) ont plus que doublé depuis le début de l'année.

Lire la suite sur : www.zdnet.fr

mercredi 22 octobre 2014

IBM ne veut plus produire de processeurs et paie Globalfoundries

IBM se sépare de ses activités déficitaires de fabrication de processeurs, cédées à Globalfoundries qui reçoit 1,5 milliard de dollars en échange, ainsi que l’accès à la propriété intellectuelle de Big Blue. Le coût de l'opération est estimé à 4,7 milliards de dollars par Big Blue.

Lire la suite sur : www.zdnet.fr

mercredi 15 octobre 2014

IBM de plus en plus India Business Machine

Après la cession de ses activités serveurs d’entrée de gamme à Lenovo qui vient d’être finalisée, IBM compte désormais moins de 80 000 employés aux Etats-Unis, alors que la filiale indienne poursuit son expansion et regroupe désormais plus du tiers des effectifs de l’entreprise.

Au 31 décembre 2013, IBM employait 431 212 salariés contre 434 246 un an plus tôt. C’est ce qu’indique le rapport annuel 2013 (What will we make of this moment?). Depuis 2009, IBM ne donne plus aucune informations sur la ventilation de ses chiffres et pour cause car ils sont plutôt délicats à commenter. Selon les dernières estimations IBM emploierait un peu plus de 70 000 salariées aux Etats-Unis contre 153 000 en 2000. A cette époque, la filiale indienne ne représentait que quelques centaines de personnes. Aujourd’hui, elle est la première force de Big Blue avec quelque 150 000 salariés (Amid Global Push, IBM Has Shrunk Its U.S. Workforce By Half Since 2000) contre 50 000 il y a une dizaine d’années (IBM Eyes 50,000-Plus Indian Employees). Ce transfert est la simple résultante du plan stratégique Roadmap 2015 lancé par Sam Palmisano, le prédécesseur de Ginni Rometty, qui avait donné comme alpha et omega de l’entreprise d’atteindre un bénéfice de 20 dollars par action en 2015 (IBM arrive-t-il au bout de son modèle ?). Pour l’atteindre, IBM s’échine à réduire les coûts, notamment salariaux. D’où ce principe des vases communiquants salariaux entre les filiales américaines et indiennes...

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vendredi 10 octobre 2014

Le Medef "Avance" des ... propositions...


Des propositions qui tirent la France vers le bas !
24 septembre 2014
Des propositions qui tirent la France vers le bas !
Deux semaines après la réunion des partenaires sociaux consacrée à l'élaboration de l'agenda social, la CFTC déplore la formulation par le MEDEF d'un agenda social  bis concocté sans les partenaires sociaux. Elle y voit une contradiction avec l'ambition affichée ce jour de « poser les bases d'un nouveau consensus social ». Elle regrette profondément que le dialogue social ainsi que ses acteurs ne soient pas respectés.

À travers le CICE et le pacte de responsabilité, la CFTC s'est déjà engagée dans une politique de relance de l'économie au moyen d'une reconstitution des marges. Par leur réinvestissement dans l'appareil productif, ces marges doivent permettre à nos entreprises, nos produits et nos services de monter en gamme. Une montée en gamme qui s'accompagnerait d'une montée en compétence et de rémunération des salariés. La CFTC pensait partager avec le MEDEF et d'autres partenaires sociaux cette ambition !

Pour la CFTC, « le petit livre jaune », regroupant l'ensemble des propositions du MEDEF pour créer 1 million d'emplois est un véritable bond en arrière. Ce n'est pas en précarisant les salariés, en individualisant les rapports sociaux et en renforçant la concurrence déloyale entre les entreprises, que l'on créera de l'emploi ! Qu'il s'agisse de la durée du travail, de la possibilité d'embaucher des salariés à un coût inférieur au minimum salarial, ou encore en contrat de mission temporaire, ces voies ont déjà été explorées par d'autres pays comme l'Irlande, aujourd'hui en faillite !
Enfin, pour la CFTC, toutes ces propositions tirent la France, ses entreprises et leurs salariés vers le bas.

Où en êtes vous de l'utilisation de votre DIF ?




Aujourd'hui notre entreprise est en pleine mutation et plus que jamais vous devez vous former afin de maintenir votre employabilité. Pensez à utiliser votre DIF, c'est un droit.
Très peut d'entre vous utilisent leur DIF.
Actuellement, une faible partie du crédit d'heures acquis au titre du Droit Individuel à la Formation est utilisé par les collaborateurs.
Et vous, où en êtes-vous de l'utilisation de votre DIF ? Prendre son DIF c'est prendre en charge le développement de ses compétences et montrer à son employeur avant même la GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) notre volonté de rester employable.
Pouvons-nous choisir librement notre formation DIF ?
Oui ! mais l'action demandée doit entrer dans le champ de la formation professionnelle tel que défini par le code du travail. Le choix de votre formation doit toujours se faire en accord avec votre employeur.
En cas de refus, contactez vos élus de la CFTC.
Nouveau : le DIF disparaît le 31 Décembre 2014 au profit du Compte Personnel de Formation (CPF)

A partir du 1er Janvier 2015, le compte personnel de formation (CPF) prend le relais et sera crédité des heures acquises au titre du DIF. Toute formation se déroulant en 2015 qui aurait été acceptée avant le 31 Décembre 2014 au titre du DIF sera maintenue.

Le CPF fixe un cadre beaucoup plus limitatif quant au choix de la formation (liste individualisée, en fonction de la branche, du statut de la personne, de son emploi...)

Alors n'hésitez plus et utilisez vos heures de DIF pour améliorer vos connaissances et accroître votre employabilité, car c'est un devoir d'utiliser ses droits.

POUR VOUS ... Formation et financement du DIF et du CIF